mercredi 10 novembre 2010

Les agités du Service Après Vente militent contre la séparation des fratries

VIDEOS- Omar et Fred: leur appel pour SOS Villages d'Enfants

Omar et Fred apportent leur soutien à l'association SOS Villages D'Enfants qui s'est donnée pour mission de redonner à des frères et sœurs qui ne peuvent pas vivre avec leurs parents, le bonheur de grandir ensemble selon un mode de vie familial, sous un même toit.

Ce vendredi 19 novembre, à l’occasion de la Journée mondiale des droits de l'Enfant, 200 d'entre eux se rassembleront sur le Champ-de-Mars pour dénoncer la souffrance des fratries séparées en cas de placement, suite à des défaillances parentales: maltraitances, graves dysfonctionnements familiaux, mise en détention des pères et mères... Ils rappelleront aussi qu’une association fait un travail extraordinaire pour mettre fin à cette injustice : SOS Villages d’Enfants. Mais les gamins réunis au Champ de Mars ne seront pas les seuls à créer l'évènement. Car un duo de grands gosses a décidé de leur donner un coup de main: Omar et Fred!

Les deux déjantés de service (après vente) de Canal+ se sont une nouvelle fois montrés généreux en rejoignant l'engagement de la marraine de SOS Villages d’Enfants, Anny Duperey et de ses ambassadrices, Laurence Ferrari etAstrid Veillon. Le binôme de trublions du PAF a en effet tourné deux vidéos où ils clament leur soutien entier à l'association SOS Villages d'Enfants qui recueille sous un même toit, autour d'une "mère SOS", et le plus souvent à long terme, des fratries qui auraient pu être séparées pour être placées dans différentes structures. Bref, l'association oeuvre pour que ces enfants, qui ont déjà été arrachés à leurs parents, ne subissent pas la double peine que constituerait la séparation de leur fratrie, dernier bastion d'une cellule familiale éclatée par les difficultés.

C'est ainsi qu'Omar et Fred reprennent Toi+Moi et exécutent une chorégraphie délicieusement absurde pour insister, à leur manière, sur l'importance du maintien des liens entre frères et soeurs pour qu'ils se reconstruisent ou simplement se construisent... La seule question restant: combien d'enfants sont-ils concernés par ce problème en France? Impossible de le savoir: aucun outil n'existe pour identifier, et donc aider au mieux, les enfants concernés! Une carence que dénonce l'association, ainsi que le manque de structures d'accueil pour les fratries. On comprend dès lors pourquoi Omar et Fred ont décroché leur téléphone et dit oui à ce parrainage.
Source : www.gala.fr

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire